Le anfore, viaggiatrici e loquaci.

Fini, slanciate, contenevano del vino, dell’olio di oliva, delle salse di pesce; la pancia arrotondata, c’erano dei cereali,  del frumento, del farro, o le olive della Grecia, della Sicilia, della Liguria; le più piccole chiamate alabastro proteggevano dei profumi o degli unguenti per i ricchi Fenici o Egiziani; quelle di Lipari racchiudevano la pietra di allume destinata fra l’altro alle concerie di Pompei.

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Tofino tote formule tan-bark (voile brun cachou)

 

On arrive à Tofino en hydravion, sur le dos d’une baleine ou comme tout le monde en voiture après 300 km d’une route serpentant depuis Victoria (au sud de l’île de Vancouver) à travers des milliers d’arbres géants, sapins, cèdres, chênes, qui cachent parfois un ours,  parfois un loup et tout en haut des aigles … la route est si longue, la forêt si pleine des mystères du Grand Ouest, que l’on croit entendre les mots que se transmettaient les Nuu-chah-nulth, de générations en générations  -avant la route- Hishuk ish tsawalk/le monde est un seul et tout est interconnecté. Pas si “sauvages” …!

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